Star Tours : L'Aventure Continue
Cet article porte sur l’une des attractions à ne pas manquer de Discoveryland , Star Tours : L'Aventure Continue présente depuis 2017. Elle a remplacé l'attraction "Star Tours" qui était présente depuis l'ouverture de Disneyland Paris (en 1992).
La création de l'attraction
Star Tours (qui deviendra Star Tours : l'Aventure Continue) comme la plupart des attractions fut inaugurer en premier à Disneyland Park (à Anaheim, en Californie, aux Etats-Unis) en 1987.
Au départ, l'attraction devait être basée sur le film de science fiction américain Le Trou noir (1979). L'attraction devait être un simulateur interactif dans laquelle les visiteurs auraient eu la possibilité de choisir le chemin du vaisseau. Mais le film n'ayant pas fais succès et le coût estimé du projet mit un terme au projet, qui aurait coûté plus de 50 millions de dollars. Mais Disney n'abandonna pas l'idée et proposa à George Lucas, avec qui ils ont déjà collaborer pour le film futuriste en 3D sur Michael Jackson, l'idée de créer une attraction basé sur une simulation de vol dans l'univers de Star Wars, ce qu'il accepta.
À la suite de cet accord, Disney a acheté 4 simulateurs à l'armée américaine, pour un coût total de 2 000 000 dollars. Pour les besoin de l'attraction, ils furent modifié. George Lucas et son équipe de spécialistes des effets spéciaux (Industrial Light & Magic) ont quand à eux travailler sur le film. Les équipes du film réutilisèrent les décors créés pour les films de Star Wars. Quand les simulateurs et le film furent finis, un programmeur fut installé dans le vaisseau de l'attraction et les mouvements du film fut synchronisé manuellement à l'aide d'un joystick. Disney a breveté un système présent sur l'attraction permettant un embarquement/débarquement simple et rapide des visiteurs, ce système permet d'escamoter les passerelles au-dessus du volume permettant le mouvement du simulateur. En 1987, l'attraction a ouvert après des travaux ayant coûté au total 32 millions de dollars soit le double du coût de la construction du parc.
La nouvelle version de l'attraction "Star Tours : l'Aventure Continue" est un projet de Disney dont le but était de renouveler l'attraction en proposant de nouvelles aventures. La nouvelle trilogie (qui est arrivé au bon moment) permet justement d'ajouter de nouveaux mondes, de nouveaux décors, de nouveaux véhicules et de nouveaux personnages. Des négociations ont eu lieues entre Disney et George Lucas pour la réalisation de nouveaux films pour l'attraction. Au total, 54 nouveaux films ont été réalisés pour Star Tours: l'Aventure Continue. Ce qui permet aux visiteurs de ne jamais refaire la même aventure à chaque fois qu'ils font l'attraction.
Le principe de fonctionnement
Il s'agit ici de la projection cinématographique d'une aventure qui invite les visiteurs à s'envoler vers l'espace grâce au système de simulation de vol. Le film est projeté en 3D relief, chaque visiteur est équipés de lunettes stéréoscopiques polarisantes. L'ensemble de la salle est composé d'effets lumineux, de manière à plongé intégralement le visiteur dans le film. La salle est composé de 6 vérins en configuration hexapode qui inclinent la salle selon trois axes. Les 6 cabines permettent d'accueillir 40 personnes en même temps. Le poids des cabines est d'environ 25 tonnes.
Avant que le film commence, un visiteur choisi par le Cast Member est pris en photo pour intégrer l'aventure (il sera un(e) espion(ne)). Contrairement à la version initiale, la version Star Tours en 3D dispose d'un principe de trajets composés. Cela veut dire que l'histoire est un trajet de quatre segments assemblé automatiquement et au hasard, à partir de plusieurs scènes. Cette technique permet de faire varier les aventures. Disneyland Paris proposait 96 aventures différentes à son ouverture en 2017 mais aujourd'hui avec les ajouts de scènes réalisées en 2019, il y aurait 525 aventures différentes.
Le déroulement de l’attraction
Le bâtiment est resté le même que celui de la version précédente, seul les décors ont changés.
La première salle est composée d'un chemin en pente montante et d'un écran affichant les horaires de départ et destinations fictives des prochains vols.
La deuxième salle, il y a une réplique du Starspeeder 1000 et des audio-animatronics de R2-D2 et de C-3PO. En haut d'une cabine, on peut voir les Mon Calamari qui supervisent les opérations. Un écran géant affiche diverses annonces publicitaires de la compagnie Star Tours, ainsi qu'une publicité pour le tout nouveau Starspeeder 1000. Les annonces sont séparées par des annonces météo de diverses planètes.
La dernière salle comporte un autre chemin en pente montante, et abrite 2 animatroniques de droïdes. Le premier est chargé de vérifier le contenu des bagages, il ironise sur les contenus des bagages. Le second passe les visiteurs au scanner en s'adressant à eux. Le pilote de l’ancienne attraction RX-24 et RX-N sont présent à l'entrée de la salle. Ils semblent être hors-service. D'autres droïdes désactivés sont aussi visibles dans cette « salle de contrôle sécurité ». En sortant de la salle, on arrive sur la zone d'embarquement.
La sortie de l'attraction se fait en passant par Star Traders, une boutique sur le thème de Star Wars.
Depuis 2017, l'attraction proposant des aventures inspirées des épisodes VII et VIII de Star Wars. Entre 2017 et 2018, à l'occasion de la sortie au cinéma de l’Épisode VIII, les visiteurs de Disneyland Paris qui feront tous le même voyage : le premier saut hyperspacial emmène les visiteurs sur Jakku et le deuxième saut les emmène sur Crait. Le départ et les hologrammes sont quand à eux aléatoires. Depuis 2018, le scénario est redevenu entièrement aléatoire.
Mon avis sur l'attraction
Je trouve que c'est une attraction originale, qui permet de voyager dans l'espace, tout en restant sur terre. L'attraction est idéale pour les fans de Star Wars qui peuvent facilement se plonger dans l'aventure.
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